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martes, 28 de abril de 2009

Si Je Serai Un Poème

89

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Si je serai un poème


Si je serai un poème...

Je te laisserai designer ma forme avec ta plume

Je serai un poème longue ou court ca depende de tes desirs

Je pourrais être compliqué ou facile à comprendre selon le jour

Tu écrirais d’une vie, d’une femme ou d’un vol dans l’espace


Si je serais un poème...

Tu pourrais me toucher sans problème

Et me lire en n’importe quel dialecte

Ma contexture serais en voyelles et en consonnes


Si je serais un poème...

Je te permettrais de me faire desins autour de moi

Ca pourrait etre des étoiles, de papillons et lequel tu voudrais

Si tu m’écrirais tu choissiserai l’aube, le couche du soleil

La matin, l’après midi ou la soirée pour le faire


Si je serais un poème...

Et si tu me contruirais avec seulement une consonne

Je serais une ¨T¨ qui arrive jusque le ciel et qui s’appel Toujours

Si tu choissiserai une voyelle tu préfèrerais une ¨A¨

Parce que avec la bouche ouverte la porte est ouverte à notres fantasies


Si je serai un poème...

Je serais publié en differents languages

Et je pourrais avoir la chance de rester dans tes brass

Quand tu me trouveras dans les magasins et les bibliotéques


Si je serais un poème…

Si je serais un papier , alors legèr

Tu pourrierais porter cette feuille dans ton poche

Et la relire et la toucher chaque fois que tu voudrais

Tu pourrais l’enmener sans faire des efforts


Si je serais un poème

Je serais un poème d’amour, des aventures, des tristesses,

Des espoirs, des avenirs, des desirs, des fantasies,

Du passé, du presente, du futur et encore d’amour


Si je serais un poème...

Si je serais un poème je voudrais l’être

Juste avec une seule condition

Que soit toi l’ecrivain, mon poète et moi le poème


Maritza Cervantes Macedo 28/04/09


domingo, 26 de abril de 2009

Los Dos



88

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Los dos


Unidos en una misma época

Por un mismo público

Que embarga a todos los niños

Y también a los que dejaron de serlo


Ambos trabajan para dar diversión

Con poco costo en su estructura

Pero con muchas moralejas por aprender


Los dos me incitaban a iluminar mis ojos

Al verlos construí mi sonrisa

Al salir del sueño me arropaban en historietas


Entonces me di cuenta que eran parte de mi vida

Que me enseñaron a ser niña

Y no dejar de serlo aún en mi senectud


Aún cuando ya se perdió la transmisión

Buscaron medios para salvar la situación

Y es así como aún a pesar de tantos años

Que podriamos decir toda mi vida, aun existen


Porque son eternos, sin ser dioses

Ambos marcaron una etapa en la humanidad

Porque todo el mundo los conoce

Y aún ahora al pronunciar sus nombres

Transportan recuerdos que son inolvidables


He aqui mis dos amores

Uno más que otro pero en emoción

Los dos son mis favoritos


Al gato de mis sueños que sin poder tocarlo

Me toca muy en el fondo de mi corazón

Por él que he vivido muchas aventuras

Garfield, mi primer amor


El segundo quien también tiene un espacio en mi corazón

Que aunque se hable de él en plural

Evoca una misma especie y que aporta alegría

Quien me enseño a aprender a escuchar

Que el trabajo en equipo es mucho mejor que el de la soledad

Los Pitufos, el pitufo, el amor de mi amor


Maritza Cervantes Macedo 26/04/09



Deseos Desesperados


87

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Deseos Desesperados


Me buscas sin razones

Para poder caer en tus tentaciones

Entonces cierro mis puertas

Y persistes con este sin razón


Pruebas de fuego

Sin armas que queman

Cada uno ve a su manera sus reglas

Pero luego que queda...


Comienza el debate

Según tú que sigue latiendo

Imploras situaciones que no volverán

Entonces te enojas y me evitas


Te vas y me gritas

Como si tuviera toda la culpa

Si recién te diste cuenta de tus sentimientos

No puedes replicarme mi nueva situación


Luego pones argumentos de una fantasía

Que según tu me ciegan sin ver la realidad

Pero tu no conoces toda la verdad

Prefiero guardar mis vivencias sin ventilarlas por doquier


Quizás me he vuelto una piedra

Pero para que admitir algo que no se puede concebir

Cuando propones y tratas de disponer de mi vida

Me dices y replicas mis complicaciones


No tengo porque darte explicaciones

De mis decisiones y mi porvenir

Te contradices cuando me hablas de tus flores

Entonces riégalas y déjame florecer en otro paraíso


Luego desesperado pides palabras de amor

Pero ya todo eso tuvo su lugar

Siento si te causo dolor

Pero es mejor que cada uno tome su autobús


Aún asi me hablas y soportas

No quisiera hacerte ningún daño

Ya pasamos situaciones peores

Para que amargarnos, y algún día encuentres tu musa


Maritza Cervantes Macedo 26 /04/ 09

sábado, 25 de abril de 2009

Spleen libre



86

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Spleen libre


Si je serais écrivain

J’écrirai de mots...

Des mots qui nous provoque rire

Juste avec un petit vers

Des mots qui nous fait danser

Entre notes bass et haut


Des mot qu’il faut lire deux fois pour comprendre

Où celles qui tuent dans chaque paragraphe

Il y a de spleen noir qu’on l’écrire avec des larmes

Et des mots froids en glace que nous rends muets


Mais aussi il existe de mots qui aident

Des mots sucrés, où il y a toujours un arc-en- ciel

Même les mots portent de vêtements

En rose quand les coquins montent au 8ème ciel

En vert comme les champs Elysée à côté de la Sena...

Alors on soupirs en rêves

Et des autres couleurs comme le bleu

Que c’est difficil à expliquer

Aussi Dieu ne savais pas decidé avec

Alors le ciel et la mer restent bleu


Le gens essaie d’apprends differents mots

Au final ils parlent pour parler

On adore se compliquer entre mots

Et on marche comme ca tous les jours

Une chose est certaine,

Les mots plus fortes pour l’être humain

Ce sont celles en colère et les mots…d’amour


Maritza Cervantes 23 abril



domingo, 19 de abril de 2009

Mon reméde

85

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Mon reméde


Quand je suis heureuse

Tu couvres ma joie avec un sourire

Et je n’ai pas de choix...

Que tes lèvres glissent sur ma peau


Quand je suis mélancolique

Tu provoques une pluie de roses

Qui séchent mes larmes

Aprés ton regard me change tout suite


Quand je suis pensive

Tu tournes ma tête sur ton coeur

Et j’ai un vol jusqu'au 8éme ciel

Oú il n’y a qu’un ciel étoilé


Quand je suis bavarde

Tes oreilles ne se couchent pas tôt

Et mëme en silence tu me reponds

Après l’orage vient le calme

Quand je suis coquine

Tu continues mon jeu

Et quelque fois tu me laisses gagner

Aprés la revanche c’est plus interessant

Quand je suis loin

Tu m’attrapes en l’air

Et tu ne me laisses pas sortir de la planète

Tu attires mon attention et je reste à tes côtés


Quand je suis fatiguée

De lutter contre ma solitude

Tu me fais un clic d‘oeil

Et je reviens encore ensorcelée


Quand je suis trés sincére

Et quelque fois j’arrive à te blesser

Tu me comprends avec patience

Et tu me serres dans tes bras


Quand je suis malade

Tu me fais de chatouilles

En faisant mon esprit s’eveiller

C’est toi mon reméde à moi, tout entier


Maritza Cervantes 15/04/09


Un vol

84

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Un vol


Je m’eveille à l’aube

J’ouvre mes ailes et je regarde le paysage

Plein de maisons avec des carreaux rouges


Tout est beau

Tout est extraordinaire

Dans ce paradis

Je commence le vol

Je plane pour l’ocean

Et regarde un poisson bleu


Il est mignon

Il a l’air innocent

Il est perdu dans l’ocean


Je m’approche et je serre mes ailes

Il est blessé par un appât

Alors je vole autour de lui

Et je le glisse avec de poudres magiques


Il bouge, il est sauvé

Il saute de joie et me remercie

Pour être le médicament qu’il attends


Maritza Cervantes 15/04/09



martes, 14 de abril de 2009

La vida es dura... pesa




La vida es dura... pesa

83

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La vida es como un coche sin ruedas
Se arrastra en el lodo bajo una tormenta
Y pesa ... la vida pesa en toneladas

Cada vez que se piensa ser mas fuerte
El carro queda mas blindado
Es como una cruz de Semana Santa

Y te caes y caes en el mismo error
Pierdes la memoria y retornas en el mismo camino
Árido con cáctus que te arañan el cuerpo
Dejando huella de tu error

Milagrosamente viene un ángel y le da ruedas
Cobijo, una comida de noche caliente y refrescante
Despiertas y tienes que partir
La vida te cobra peaje y te quita las ruedas

Todo se paga, yo también pago mis deudas
Es la ley de la vida, nada cambia
La vida no cambia sólo se ve de diferente ángulo

Y respondes a tu conciencia a tu manera
Teniendo respuestas a medias
Mentiras de tu vida en rosa
Para que no sientas las espinas que te hundieron

La vida es dura ... Pesa....

Maritza Cervantes Macedo 14 abril 2009