Google

jueves, 27 de octubre de 2011

Inmobiles


131
** ** *

Transparente y quieta… cual damisela de invierno que pide la luz de las llamas a media luna, a él que deja su manto reposar para un nuevo comienzo, no serán estas líneas espirales que nos haga unir nuestras sendas ni las llamas que nos penetran en nuestros corazones de hielo. No será las siluetas plasmadas en pinturas que nos recuerden estos lazos, de tantas emociones y aventuras de nuestros años mozos. No será el idioma que corroe por nuestros labios hasta llegar a ese lujurioso paladar que roza los placeres de la vida. No será pues el ruido que toca tu latido estremeciendo el suelo cotidiano, no será nada de lo que el universo ha inventado para seducir la belleza de tu iris que me embriaga hasta dejarme tirada en sabanas de seda…

Será algo simple, quizás un soplo como hubo hace años, un suspiro de un paso que se acerca pero que remece la tierra hasta la luna, un simple movimiento perpendicular que amerita un nuevo retoño de verano, será pues el rozo de la arena que aun nos impregna entre las olas de las bolas de muñecos de invierno… y si hemos mezclado estaciones es por lo mismo que estamos aquí parados, atónitos viendo como se estremecen las llamas de estas velas que giran en siluetas de danzas.

He me aquí paralizada… pero con mis poros a flor de piel que se impregnan de tus ojos a los míos, esperando los pocos segundos del desliz de tu suela.

Maritza Cervantes de Daigremont 27 de Octubre 2011

miércoles, 5 de octubre de 2011

Toi


130
** *

Toi


Tu es tous les rayons du soleil

Qui me réchauffent tous les jours

Un peu plus chaud ou moins chaud

Ca dépend du jour


Et je t aime comme tu es

Tant naturel tant compréhensif

Que je deviens comme une fille

Même pas de 9 ans


Avec toi je grandis à chaque petit pas

Qu’on construit qu’on oublie

Tu es mon bonheur

La raison pour laquelle je reste à tes cotes


Tu es le feu qui me pénètre jusqu’ à fonds

Le l’eau qui me mouille comme la chute du Niagara

La terre perdue que j’ai trouvée après une virée

Le vent qui me caresse du jour à nuit


Tu es plus que la lumière auquel je dois remercie

Pour me faire la femme de ta vie

Parce que toi tu es l’union de ma vie

Toi tu es simplement…L’Amour


Maritza cervantes de Daigremont 01/10/2011












martes, 27 de septiembre de 2011

Tu Veux TOUT

129
** **
Tu Veux TOUT

La vie est un rêve un jour on se lève
Et on se trouve au milieu de tout
Ce qu’on pourrait désirer
Le joie, les caresses, la volonté...
Une chute de lettres de plaisirs
Que tu as verse sur moi
Comme la pluie… doucement mais en profondeur

Depuis c est moment la tu m as emprisonné
Et je ne peux pas que voir pour tes yeux de mer
La douceur de la calme de terres perdues
Une aventure sans limites
Qu’on découvre tous les jours
Chaque minute et neuf secondes de plus

Tu veux tout
M’offrir à toi en entier
Chaque morceau de mon corps et mon âme
M explorer pour toutes mes lignes
Te donner mes sensations a mille/heure
Chaque goute que j ose poser sur toi
Te réchauffer en moment courts et longues

Je me demande si c est suffisant
La passion reste comme un tabou
Pas seulement sexuel mais sa réel identité
L amour et loin de la passion
Ils se complément que pour quelques instants
Après il revient le silence…
Alors encore je suis aveugle de plus de toi

Tu veux tout
Mon humeur mes délires mon joie
Ma manière de complicité avec toi
Mes yeux resplendirent que pour toi
Mon cote enfant et d adulte
Mes sentiments ouverts qui débordent de bonheur

Et j essaie de comprends mes torts
Une larme perdue, un sourire gagné
Être pour toi une femme parfaite
Sans payer aucun prix
Vivre l amour au naturel

Tu veux tout
Me faire traverser les frontières sans retour
M avoir dans tes bras
Faire une vie avec toi
Te suivre entre consonants et voyelles
Gouter de te lèvres et noyer en saveurs
Laisser mes caprices noyer dans l océan
M’insérer a ta vie avec douceur
Et rester dans ton foyer charmant
Ou je ne suis qu une invite par ton cœur

Et je sais que tu le sais
Pardonne-moi la redondance
Des mes mots fragiles
Et un jour on trouvera la frontière
Sera une grande pause entre les deux
Avec le cœur ouvert
Pouvoir toucher l odeur de la sincérité
Sera dans le paradis de bonheur

Tu veux tout
Te donner de liberté a tes caprices
D ouvrir la porte a tes désirs
Te laisser envoler jusque …
Que tu trouve les mots parfaits
D un vers qui te manque
Te laisser trouver ton complément
Sans aucun geste de tristesse

Qui comprends l amour au final
Même pas aucune personne ne pourrait le décrire
je ne demande qu un peu de respect
Être l un pour l autre entre mélodies
Qui touche… qui s envole…
Qui reste jusque la mort

Alors si tu veux tout
… Simplement Tu veux tout

Et j ai rien refusé
Je suis tes pas de petit en petit
Jusque me perdre dans ta figure
Et je n ai su plus retrouver autre chemin
Que te découvre à chaque seconde
Je découvre en toi un nouveau sourire
Un nouveau regard
Un nouveau bisou…

Tu es comme une boite de pandore
A la quelle j ouvre doucement pour ne pas tomber
Parce qu’ Ilya de chutes qui blesse
Mais des atterrissages qui charment

Alors si l amour a un prix
je dois passer pour caisse
pour ne me casser la tête
en tant de pensée
des mot entre mots que je ne réussie pas à comprendre

Tu connais de mots qui détruit un cœur
et qui le fais sentir comme une princesse
d un compte de fée, de un cauchemar de numéro pairs

Alors si je pourrais encore décider
Si tu me demandes rester a tes cotes
je sais bien qu un bisou de te lèvres sera suffisant
pour être ivresse de toi en amour


Après tout,
je suis toujours tienne

Maritza cervantes de Daigremont 27 de septiembre 2011

domingo, 28 de agosto de 2011

La felicidad en mis ojos


128
** **
La felicidad en mis ojos
Porque mi vida contigo es una obra de arte

Si en un día se viviera todas nuestras primeras siluetas
Alzadas en pinceles de colores
Estallaría, te juro que estallaría un arcoíris
Hasta vestir la ultima pigmentación del planeta
Me has quisquillado como el pintor con su pluma…

Nuestras primeras tantas veces siete
Ese muro que nos revierte de frescos en multicolores
Y va cogiendo vuelo ese pincel que te lleva a tu máxima imaginación

Tus primeras pinceladas endulzan mi vida
Se vierte en tinta negra tus primeros versos
Y corre la tinta hasta llegar a mi corazón
Dibujándome una sonrisa

Tu mano se alza y tus oleos navegan
Entre océanos se pinta un horizonte
La felicidad me colma
Mientras logras que tu letra pueda acariciar

Primeras señales de vida
En el primer tintineo de tus cuerdas vocales
Bailamos entre cavernas de arte rupestre
Tanto tiempo se oye el eco y tan corto tiempo
Y el pensamiento se encarno en tu aroma
Como describir la sensación de una pintura viva?
Falto solo admirarte y de una sola pincelada
Te cubriste en mi piel

La sensación de las gotas de un muro fresco
Invadían cada poro de mi ser
Se mezclan colores básicos puros en cada envase
Y se caen, y el fluido del aire los invita a engranarse

Pintura fresca, nace la obra perfecta
Hecho poema, hecha canción para grabarse para la eternidad
Al horizonte se expande nuestra luz en una pared virgen
Resplandece como una llamarada por el acto

El pincel habido de sed humedece
Dando aliento para la siguiente escena
Se fructifica en colores más ávidos
Se enlazan los parentescos cruzando montañas

Esbozas nuestros primeros lienzos
Círculos en números rojos de luz
Bajan y vienen las chispas que desluces en tu iris
Al atreverse pintar el nacimiento de la vida

Maritza Cervantes 28 agosto 2011

martes, 23 de agosto de 2011

Aimer

127
***

AIMER

A quel point tu l’aimes? Si elle pourrait juste imaginer a quel point tu l’aimes… ne serait pas un amour gaspille

Au milieu de la foret trainait une clochette
Depuis ce moment la tu es ensorcele
Elle etait si petite si parfaite
Elle te regardait pas mais ses ailes ont vole sur toi
… elle a jamais essaie de te rejoindre
elle voilait juste etre proche a toi, quelque clic d’oeil
c’etait suffisant pour que tu descends ton royame pour elle
l’histoire faissait la couture en toile dans ton coeur

chaque minute plus forte
c’etait imposible de ne pas la regarder
meme si elle laissait de bisous a tes plus proches
ces bisous que t on tue et au meme temps elle tournait la tete a toi
et tout suite ton energie etait remplis

a quel point tu l’aimais?

Le pourcentage montait entre rires, jeux, etre coquins, serieux et tu l’as chouchote avec des merveilles du monde
Elle a trouve son ``genie`` a qui elle pourrait demander n importe quelle desir
Des bisous perdus, bisous chaud, bisous forces, … et bisous des autres… elle te savais retenir

Elle te mettait les mis au point et tu as commence a rever d’elle
Elle est devenue la perfection de femme devant toi
Si parfaite pour tous tes desirs, toutes ses actions sont l emotion qui vibre dans ton corps
Et tu as commence a apprendre a vivre dans ses pas
Jusque etre drogue de son parfum

A quel point tu l’aimes?

De suivre un reve avec son permis
Ca compte beaucoup son avis
Elle si sage qui t’a fais l aimer tant que tu as reussi a l’aimer autant et laissez une fenetre
Tu as appris a partager ton amour
Elle restait toujours dans un sac special intouchable… sacre

A quel point tu l’aimes?

Au point d’aimer une autre et vivre avec elle
Au point de ne te permettre de la laisser
Donc tu bois un the a trois
La priorite de ta fille sacree et l’autre qui tu as reencontré pour te suivre


A quel point tu l’aimes?
Je ne sais pas
Mais elle vient dans le contrat c’est sur

Un jour... viendra
Un jour… tu t eloignera de ta muse
Un jour… peut etre tu me laisseras

A quel point tu l’aimes?
Un jour on pourrait laissez un amour assez pure?
Tu l’obsession d elle dans ta pensee
Je ne sais pas si un jour viendra

A quel point tu l’aimes?
D’essayer d’avoir une vie avec d’autre
Et rester ton coeur intact pour elle
Le permettre oser a elle de delirer
De celle qui va vivre avec toi

Le vol du premier jour on oublie jamais
Elle se laisse faire pour toi
Et tu te laisse ensorceler
Dans une relation des amoureux des con-tes

A quel point tu l’aimes?
De savoir tout sur elle
Ses caprices, comme elle pourrait agir
Ses feblesses et fortaleces au point maximun

Tu l’aimes au point de ranger ta vie avec elle
Tu l’aimes au point que tu pourrais jamais la laissez
Tu l’aimes au point de savoir chaque minute d’elle
Elle habite si loin et proche de toi
Elle reste dans ton coeur et ton ame

Et meme toi tu le sais?
A quel point tu l’aimes?

Maritza Cervantes 23 agosto 2011

domingo, 7 de agosto de 2011

Tu EGOismo


126
*****
Tu EGOismo (Parte IV)

IV Luz

Energía

Y si fuera yo la que siempre ha querido
Sin mascaras ni opciones
Tenia tantas ganas de descubrir si era o no

El ya había confirmado hasta más no poder
Yo tambien queria invadirme de energia
Para estar segura

¿Merezco el amor?
Necesitaba una disertación de un te amo
Sin ser invadida de pestes

La energía no hace daño
Embeleza el paisaje
Entonces bebí de tu recuerdo
Para que no me lastime

Al contrario mi viaje fue agua pura
Al punto de darte todo
Y gritar a viva voz mis sentimientos

Caída Libre
(Retazos de Silvio Rodríguez)

¨ Ojalá se te acabé la mirada constante,
la palabra precisa, la sonrisa perfecta.
Ojalá pase algo que te borre de pronto:
una luz cegadora, un disparo de nieve.
Ojalá por lo menos que me lleve la muerte,
para no verte tanto, para no verte siempre
en todos los segundos, en todas las visiones:
ojalá que no pueda tocarte ni en canciones ¨

Nunca pensé que el dolor tocaría mis huesos
Rompiendo cada parte de un músculo voluntario
He roto en llanto ante extraños
E implorado por una voz de consuelo

Si… aun vivía su vida por ellas
Lo vi en miradas, de luces tomadas
Duele ver como cruzaba la esquina
Y el estiraba su brazo por otras

Egoísmo de mi parte… también
Pero duele tanto
En el alma viva
Que aun existen esos juegos que queman

Una vez mas mis esfuerzos no eran suficientes
Viajes vienen viajes van

Brilla

Si brilla ver en tu iris
La pupila que aun late en un amor
Reconforta el corazón al punto de resplandecer
Y es allí donde en tus letras
Vertiste en mi ser de rodillas

¿Es acaso otro juego?
No lo creo, la sinceridad me embarga de gozo
Porque sé que me amas
Y a tu manera… me tomaste
Y sabias que no podía negarme

Tienes un arma muy poderosa
La palabra del habla en tu paladar
Pero mas que unas líneas…

Sabes que te amo…
A veces abusas de una sinceridad abierta
Pero aun brilla, la luz que dejaste encendida
Los siguientes segundos, fue un mágico recorrido

Tenías todo, me tenías atada en tus redes
Contenta de haber llegado hacia ti
Me tenías embrujada sin salida
¿Mi todo es suficiente?




Tu EGOismo

126
*****
Tu EGOismo (Parte III)

III. Esperanza

- Llegada

En el punto P


Tanto tiempo he soñado con un encuentro en 3D
Después de todo este nuevo siglo esta lleno de sorpresas
Y tú necesitabas estar seguro
Que ninguna de ellas seria para ti

Hasta que tu mujer la mas añorada te dio la espalda
Una daga que te toco hasta el alma
Pero aun así tu amor es tan infinito que desglosaste sus palabras
Y las convertiste en la hada de tu sueños

Entonces es la que guarece tu alma
Tu confidente entre comillas
La que puedes contar todo y esperar que siempre este de acuerdo contigo
Ella es para ti un tesoro en un pedestal de oro
Con derecho de tocarte hasta el alma

Sabias que había alguien que te esperaba
Una ilusa que aun no habías explorado
Solo palabras que para ti aun eran vacías
Los hechos se comprueban

Haz explorado mi vida hasta el mas mínimo recóndito de mi ser
Y te he dado carta verde
Sin dudarlo me he lanzado a tus brazos como ningún otro
Porque esperaba que fuera tambien alguien especial para ti

Tantos poemas gastados
Palabras que te creí
Que al final eran compartidos por otras
Había tanta magia en algo que yo creía que funcionaria
Si daba el ciento por uno

Entonces te di más que una joya
Más que una frase… La Esperanza hace Fuerza
Me di a ti entera
Y tú me dabas lo que podías darme

Estabas inquieto… por eso dabas vueltas pensando
Que pasaría cuando volverías a tu realidad
Como afrontarías tu nueva realidad
Tanto te atormentaba lo que te puede influir
Una nueva situación

Quizás esperabas que te dijera que todo era solo una aventura
Que al fin rozamos nuestros átomos
Pero que la distancia aun nos separaba
Aun mi todo no era mucho…

Necesitabas, yo creo, el consejo fiel de tu alma
Pude besarte hasta subir juntos a las nubes por segundos
Pero no pude llenarte totalmente…
No era sufriente todavía

En la fase F


Volviste para darte de nuevo el gusto de estar en tu mundo
Privilegiado por todos los encantos y regresos de tus musas
Inofensivos retornos para saber más si es no es la indicada

Era un tiempo de cambios
Intentando ver como seria mi vida contigo
Y tratando de estabilizar mi presente
Y tú hacías lo mismo

Siempre consintiéndolas unas más que otras
Al punto de mostrarme tu amor por ellas
Después de todo una parte de mí pensaba que me dejarías

Entonces me aleje de ellos
Porque una parte de mi creía en la esperanza
En que también era importante en tu vida y que también
Me darías una prueba que pensabas en mi

Y no solo papeles de tu impresora para demostrarte
Que sientes que valía la pena ese viaje
No te mentiré aun tenia dudas de tus sentimientos

Trataba de ver el lado positivo de tus actos
Y lograste que te amara un poco más
Pero a que precio, para que penaras que fueras un dios para mi
Que EGO, no era una idealización era solo complementación

Pensar que podría haber alguien que si seria compatible
Para tener una vida en el futuro
Pero tú aun no pensabas en eso…

Regreso:

En el Punto P

Volviste por el fracaso de un sueño
Por que aun no podía dar el paso de conocerte allá
Ese viaje te grave más en mi vida

Aun si embargabas en tus labios sus nombres
Me dabas carta blanca a mis actos
Será porque esa vez manejaba un poco la situación
De todos modos solo seria dos semanas

Veía en tus ojos tus ganas de salir corriendo
Huir donde tendrías mas control
Y al mismo tiempo se afianzaba
Un sentimiento mezclado

Reafirmaste mis sentimientos
Y fue reciproco dulcemente
Me amaste un poco más….
Pero aun no era suficiente

En la Fase F


Tus brazos no son largos
Nunca pudiste estar tan cerca
Mis miedos me invadían

De nuevo te alejabas
Como las tantas veces
Era como si al pisar la primera piedra
Borrarías de tu vida mi imagen

Entonces pensabas en otras
Amigos van amigos vienen
No te reprocho tus amistades
Sino el límite de ellas

Vigilabas cada detalle de sus penas
Y me dejabas volar, a veces mas tiempo que otros
Otra vez la resignación de esperar un hola
Entonces renacía de nuevo con un gesto
Sabias que podías conquistarme sin dudarlo
Hasta cuando, no lo sabia
Quien puede saber cuanto duraría la magia de mi amor





Tu EGOismo

126
*****
Tu EGOismo (parte II)

II.- Paradigmas

Dudas


Una mujer se impregna en un cuento, la fábula de Esopo
Como si fuera una princesa y se abandona en su utopía
Es cierto que seria lindo pensar en estas líneas
Si solo fuera cierto…

Las personas nacen con el pragmatismo en sus venas
Tantos días que recorrió este reloj retrocedió y avanzó
Depende en que punto se encuentra el corazón
¨ Vous êtes ICI¨

El mismo punto, todo el tiempo
Tantos esfuerzos perdidos entre líneas, obsequios
Que nunca llenaron la expectativa
Fue, tinta perdida…

Vivías tus propias fábulas
Te regocijabas en tus cuentos
Falacias y verdades a medias
Eras feliz y hasta ahora saboreas
Cosechas la siembra que plantaste

Las dudas me invadieron hasta un punto X
Y lo borrabas en un punto (.)
Tan minúsculo que llenaba mi energía al máximo
Un simple hola
Un simple gracias
Un simple te quiero, no tanto como tú pero te quiero

La verdad es cruda

Es mejor no pensar
La verdad absoluta puede matar el alma
Y sin alma no se puede vivir en el firmamento
El cuerpo muere

Sé que tú haz llegado a amar
Hasta tocar el alma de algunas
Unas más que otras

Dar tu corazón sin dudarlo
Tocar su ser lentamente para grabártelo
Llegar a una sinceridad clara como el agua
Sin esperar nada a cambio

Haz dado todo
Pensando que liberarían tu soledad
A cada flor las haz tocado suavemente
Y algunas me dejaste explorarlas
Sólo cuando dejaban espinas en tu ser

Te he consolado y tratar de sanar tus heridas
Pero todo es nada
La impotencia de no poder hacer nada más que una palabra
Un… yo te quiero mucho
No era nada, mi aprecio no valía mucho y yo lo sabía

He oído tanto y analizado tan poco
Siempre he tratado de ponerte en la mejor situación
Aunque en un problema siempre los dos son los culpables

A veces eres tan cruel cuando te enojas
Rebajas al mínimo la pureza de una flor
Me pregunto si alguna vez también seré medida
Con palabras grotescas…

¿Verdad o Falsedad?

La vida esta hecha en diferentes paradigmas
Algunas mas verdaderos, otros son la respuesta
A paradigmas falsos
Algunas respuestas son las que quieres creer

Hay tantos paradigmas…
Que han llenado tu vida entre siluetas
Unas con más volumen que otras

Han colmado tu vida hasta el punto de llenar tus horas
Eres feliz sabiendo que llenas un espacio en sus vidas
Tu Ego crece como espuma y te embriagas de dicha
Ya no era importante amarlas hasta el elixir

Dependían de ti
Dependen de ti y te causa placer
Ser su medico cuando necesitan de tu compañía

Eres el héroe de sus sueños
Y para ellas tienes la palabra perfecta
Aún si luego te dejan un tiempo
Sabrán que estarás ahí

Sentirte necesitado… cuantas veces haz provocado
Llenar un vació…
A que punto dejas el vaso para que no rompas el equilibrio
Quizás es eterno

Entonces llegas a un punto que desborda tu paciencia
Te han aplastado hasta escuchar literalmente
Que nunca se podrá atravesar la línea
Al punto de gritar a todo el mundo

Haz querido llegar al punto de mostrarlas
Algunas mas que otras, y declarar tus sentimientos
Gritar juntos a viva voz atravesando paredes que es más que una amistad
Te haz chocado con una voz con eco
Mintiéndote que nunca podría ser ellas el amor de tu vida
Solo seria admiración… tu egoísmo resuelve tu paradigma
Pretendiendo que ellas te idolatran


Tu EGOismo

126
*****
Tu EGOismo (PARTE I)

I.- El comienzo

Haiku a un encuentro


Cae la noche
Entre redes mezcladas
Sólo el comienzo

Entre Novelas

La vida es una novela
Quizás de allí salen las historias
Que carcomen el tiempo
A los pasajeros de un mundo… terrestre

Un mundo que nos lleva en un carrusel
Dando vueltas a historias sin fin
Donde las personas añoran un final
Solo lo añoran… Ilusiones
Descontentos
Desengaños
Resignaciones

Nada esta planeado, solo No es el momento
Una novela debería ser siempre mexicana
Así valdría la pena vivirla
Porque la Dicha te espera con una sonrisa

Entender que el amor verdadero existe
Que no espera nada a cambio
Ni el amor mismo
Un amor puro un amor a un alma inconsolable

No era nuestro tiempo, ni lo fue ni lo es el verso anterior
En pocos meses nos lanzamos a un precipicio

Otra ILUSION perdida
El DESCONTENTO de la impotencia de alcanzar átomos
DESENGAÑOS de cartas, palabras, miradas sin rebote
Entonces llega… la RESIGNACION de un… nunca jamás

El tiempo
(Con retazos de Mario Benedetti)

El tiempo pasa

¨ Paso que pasa
Rostro que pasabas
Que más quieres te miro…¨

Una ojeada para saber si aun sobrevivía
¨ Que más quieres te miro ¨
Esperarte horas pactadas que se convirtieron en meses
Para un breve movimiento de tu hombro
Y regalarme un saludo, una sonrisa, una ventana abierta…

¨ Te quiero sólo dos
O tres minutos
Para conocerte más
No tengo tiempo ¨

Un acertijo que hasta ahora no lo desgloso
Y me aleje de ti… al punto de tratar de no quererte
Me vertí entre otros… caras vienen y van
Caretas de otros que me daban más que un Saludo

No era amor nunca lo fue
Entre sabanas, olores de perfumes mezclados
Nombres que olvide entre copas
Aun así justificaba tu ausencia con la distancia de un océano

He buscado más de tres minutos, tantas veces
Vivir sin paracaídas, darme a extraños sin remordimiento
Así aprendí del egoísmo ajeno
Aprender amar en aventuras
Verter palabras que se van con el viento
Escribir en pieles ajenas
Jugar con sentimientos al punto de usar el amor

Tantas veces la soledad del vacío me invadía
Dándome alas para que un QUIZAS se vuelva realidad
Tratando de recoger entre letras un poema
Que dejabas en migajas, compartiendo sentimientos ajenos

Yo no he esperado nada, porque se que nada podías darme
Una mentira escondida en un te quiero
Tratando de ser una de tus musas que ahora repudio
Dándote un poco más de lo que no te podía dar

Que difícil es desglosarme en burbujas para que el agua mansa
Llegue a flotar con el suspiro de brisas
Es donde amaría tener tempestades y aparecer en tu ventana
Pero la materia no se destruye solo cambia…

lunes, 11 de julio de 2011

Te enamoro

125
***
Te Enamoro

Te enamoro por el iris que embriagan tus lágrimas aun indescriptibles

Conozco el sonrojar de tus pupilas pero tus parpados celosos

Me impiden verte en el punto débil de una mujer


Te enamoro cada segundo que mi tacto te roza

El ondular espiral de un gesto entre tu nuca

Hasta al borde del abismo delirando por una pequeña muerte


Te enamoro y sin premeditarlo me enamoro

Contando las agujas del segundo para un atrevimiento

Cruzado de miradas en el punto sesenta y nueve de un cuarto de dos por dos


Te enamoro siendo una

Y me enamoro siendo dos


Te enamoro entre pequeños gestos que conviertes en un baile

Transformas el agua en fuego sin necesidad del aire que toca la tierra

Porque contigo siempre estoy entre las nubes


Te enamoro sin necesidad de verter el sonido de una voz estridente

La agudeza de tu IQ me decodifica los cristales de hielo

Retumbante pasión que vibra cuando la vida me permite tu tacto


Te enamoro entre rutas que describen lo curioso de las vías de tu cuerpo

Entre la quietud perturbada de un ambiente de tensión que se desploma entre ósculos

Transportándonos a miles de metros por segundo avecinando al fondo de la sendas submarinas


Te enamoro siendo una

Y me enamoro siendo dos


Te enamoro y es que no hay patrón que sigue el contexto de tus sentimientos

Mi táctica es tan simple como una caricia de verano en pleno invierno

Como el beso puro del ave más minúscula hacia su amado


Te enamoro y sonríes en tu puro sentimiento que me embriagan entre fumarolas

Que viertes solo en ocasiones especiales en una copa de champaña burbujeante

Que se despliegan tintineando por que sabes que yo estoy enamorada de ti

Maritza Cervantes 11/07/2011

miércoles, 6 de julio de 2011

La ignorancia lleva a la felicidad



124
***
La ignorancia lleva a la felicidad

Tomate el tiempo respira y deléitate
De todos modos este es un poema pasado
Tu egoísmo te recorre entre versos
A veces el tiempo libre carcome el cerebro
Quizás no tenía el tiempo para tipiarlo a viva voz
Hasta que tus tímpanos estallen entre letras
Sé que no soy la única que tintinea en tu iris
Algunas más que otras me evaporizan de tu ser
Hasta qué punto se vive en porcentajes
Tus musas invaden tu alegría, tu elixir de vivir
Tus ojos, el sonido de tu voz te delatan
Estoy entre milímetros y kilómetros de ti
Yo me rehúso a ser tu musa
De todos modos nunca seré la primera
Deploro la arrogancia de tus comparaciones
Sé que no me amaste sino trataste de aprender
Aprender a sentir el amor
Sentir un verdadero Te Amo al desnudo
Cuanto tiempo te tardo sentirlo días, meses, años
Te forzaste a versos sin sentirlos
Soy el poema que aun no has escrito
Te llevaste de mis sentimientos porque no perdías nada
Tratando de pensar en dos, pero en realidad no piensas en dos
Sino en mil y aun asi no estoy en tu lista

La ignorancia lleva a la felicidad
Lanza caminos jusficables
Algun dia las dejaras quizas es como el corte de cabello
Los arrancas pero surmergen mas fuertes en prosas
Si desapareceriamos los detalles de todo lo pasado
Aun estarias conmigo... o solo es un protocolo
Para que tu soledad no te consuma

Maritza Cervantes 06-07-2011

viernes, 17 de junio de 2011

Los Otros Versos


123
****

Los Otros Versos

La nostalgia me invade entre minutos
Solo minutos quizás segundos partidos
Hoy fue ayer

A todos y alguno que dejaron su puerta media abierta
Por una variante raíz cuadrada de pronóstico indomable
Elevada a la potencia al cubo y cambiante a tu manera perfecta
Sin animos de idealizar una mortal…

Fueron


Mi ecuación lineal en paralelos ortográficos
Su ausencia estará sin sentirse
Porque les debo a ustedes mas que unas líneas
Y nunca podría pagarles las caricias gastadas
Miradas a media luz de una década perdida
Estas palabras inventadas , no estarán a la altura
De un amor ¨a su manera¨
De sus palabras gastadas en mimos, darling, Julieta, my love
Imposible, platónico, a ellos que derramaron su amor en una fuga

Esta va por ellos, los que fueron y los nunca fuimos
Los que se recuerdan con un sabor dulce y una gota de amargo
Con una sonrisa por los que vi su partida y los que vieron la mia

Me quedó en la punta de la saliva
Esos Romeos, amores imposibles… platónicos
Ya no seré su princesa de rosas
Volteo y suspiro en mi cuello torcido
Las despedidas silenciosas, algunas entre ojos dormidos
Adiós para el que quiere un pañuelo blanco
Vestido en el muelle sin regreso
Otros que prefieren el olor de un perfume
El aliento de alguien aun en vida
Para ellos aun estará la palabra pero encerrada
En un círculo de oro

El clima es peor que la rutina
Quizás, perhaps, peut etre y otros idiomas que ignoro
Hoy recorde esa dosis
Que me vertían cada uno con su diferente devoción
Fueron besos robados y regocijo que ahora no añoro
Pero contemplo toda la década como si fuera ayer
Aun sabiendo que ahora no me marcarán
Ni lo harán… ni yo lo hare

Cuando se es de otro, uno solo todo cambia, todo rota
Sin llegar a los 180 grados
Que difícil fue y será despedirme de ellos
Que se quedaron en la línea de mi vida con una sonrisa
Siempre sere su Julieta en cierta manera esta vez sin veneno
Porque solo sin veneno no podre darles la vida

Mis sentimientos se desligaron en el horizonte de un océano
El sentímiento se evapora en nubes
Será un adiós sin silabas
Mi otra mitad no querra un vaso medio vacio
No se puede fraccionar el amor
Los sentimientos son únicos y ustedes que al cruzarme
Aun vierten algunas silabas en rosa
A ustedes que los amo a mi manera pero sin exceso
Gracias

Maritza Cervantes 13 de junio 2011