Nous sommes comme étranges
La premiere fois qu’on s’est regardé vis a vis
On ete des etranges
Il y avait cette timide des ados et des regardes en bás
Apres... la doute, le silence, la fatigue
Des petit en petit on s’est approché
Nous avons traverse le mur lourde que toujours nous avez serparé
Et finalement un peu de gouts sur les levres
C’etait un amour d’ados, d’un premier amour
Après la folie qui nous rends ivresses
Avec des regards qui tuent avec des brass tous nus
Parce que nous ne somme plus d’etranges
On a vecu tout le temps perdu en quelque secondes
Et maintenant on se reconnait
Oui… tu as ete toujours mon amour
Maritza Cervantes enero 2009
1 comentario:
:)
Publicar un comentario